Childbearing dynamics among married women of reproductive age in Nigeria: re-affirming the role of education

Maternal and child health
Stephen A. Adebowale
Martin E. Palamuleni.
27
Issue: 2
(03 - 2014)
Nigeria ranks among the high-fertility countries in sub-Saharan Africa. Studies that examine relationship between fertility dynamics and education are important to improving maternal and child health. This study uses 2008 NDHS dataset on births history of married women of childbearing age. Data were analysed using ANOVA, Kaplan-Meier and Cox-proportional hazard models. Mean CEB were 6.72 and 4.31 among women with no formal education and higher education respectively. Majority (38.6%) of the women left 24-35 months births-interval. Women with lower education exhibited shorter births-interval and higher completed fertility than more educated women. The Births Progression Hazard Rate from marriage to |** birth was higher among highly educated women than those with no education, but reverse pattern was observed at higher order births. This pattern barely changes after controlling for other socio-demographic variables. Edu- cation remains an important factor in fertility dynamics in Nigeria; therefore, existing policies addressing female education should be sustained.
Keywords: Fertility, parity progression, births interval, education, Nigeria
Résumé:
Le Nigéria se range parmi les pays de haut-fertilité en Afrique sous-saharien. Les études qui examinent le rapport entre la dynamique de fertilité et l'éducation sont importantes pour l'amélioration maternelle et la santé enfantile. Cette étude emploie l'ensemble de données de 2008 NDHS sur I'histoire de naissances des femmes mariées de I'ge de grossesse. Des données ont été analysées en utilisant ANOVA, Kaplan-Meier et modéles Cox-proportionnels de risque. CEB moyens étaient 6.72 et 4.31 parmi des femmes sans I'enseigne- ment conventionnel et l'éducation plus élevée respectivement. La majorité (38.6%) des femmes a laissé 24- 35 mois de naissance-intervalle. Les femmes avec I'éducation inférieure ont exhibé un naissance-intervalle plus court et une fertilité réalisée plus élevée que les femmes plus instruites. Le taux de risque de progression de naissances du mariage a la lére naissance était plus haut parmi les femmes de haut niveau que ceux sans l'éducation, mais le modéle d'inverse a été observé aux naissances évoluées. Ce modéle change a peine aprés contréle pour d'autres variables socio-démographiques. L'éducation demeure un facteur important dans la dynamique de fertilité au Nigéria ; donc, des politiques existantes adressant I'éducation femelle devraient étre soutenues.
Mot-clé: Fertilité, progression de parité, naissances intervalle, éducation, Nigéria
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