The Association between Spousal Gender Based Violence and Women’s Empowerment among Currently Married Women aged [5-49 in Zimbabwe: Evidence from the 2010-11 Zimbabwe Demographic and Health Survey

population health
Wekwete N.N
Sanhokwe H, Murenjekwa W, Takavarasha , Madzingira N.
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Issue: 3
(11 - 2014)
In Zimbabwe, levels of spousal Gender-Based Violence (GBV) remain a health, human rights and development concern. The main objective of this study was to investigate the association between spousal GBV and women’s empowerment among women aged 15-49 who were currently in union or living with a man. The analysis utilised the 2010-11 Zimbabwe Demographic and Health Survey (ZDHS) data. Spousal violence was measured by different forms of GBV i.e. physical, emotional, sexual violence and overall GBV. Overall, 48.2% of women of reproductive age who are in a union experience some type of GBV. More specifically, 26.9% report physical violence, 25.7% sexual violence and 25.7% emotional violence. The analysis showed that women who did not participate in decision-making at household level were more likely to experience GBV than those who do. Women who have control over their spouses’ earnings were less likely to suffer from GBV. However, ownership of property (land and/or house) was not associated with spousal GBV. Women who were in polygamous unions, whose spouses drank alcohol, earned less than their spouses and had a history of non-spousal physical violence were more likely to experience GBV than all other women. Younger women (aged | 5-19 years) were more likely to experience spousal emotional, physical and sexual violence than the older age groups. Recommendations are to improve women’s participation in decision making, mainstreaming GBV in development, and improve the economic and social emancipation of women and girls. Keywords: Spousal violence, emotional violence, physical violence, sexual violence, gender based violence, intimate partner violence, women’s empowerment
Résumé
Au Zimbabwe, les niveaux de Ia violence conjugale a caractére sexiste restera toujours l'une des préoccu-pations de Ia santé, des droits de l'homme et du développement. L'objectif principal de cette étude était d'examiner l'association entre la violence conjugale a caractére sexiste et l'autonomisation des femmes chez les femmes Ggés de 15 4 49 ans actuellement en union conjugale ou vivant en couple avec un homme. L'analyse a utilisé des données recueillies dans I'Enquéte démographique et de santé au Zimba-bwe (ZDHS) effectuée entre 2010 et 11 [The 2010-11 Zimbabwe Demographic and Health Survey (ZDHS)]. La violence conjugale a été mesurée par différentes formes de violence a caractére sexiste c'est-d-dire physique, émotionnel, la violence sexuelle et Ia Ia violence a caractére sexiste globale. Glob-alement, 48.2% des femmes en Gge de procréer en union conjugale en subit Ia violence a caractére sex-iste sous une forme ou une autre. Plus spécifiquement, 26.9% d'entre-elles dit avoir été victimes de vio-lence physique, 25.7% d'entre-elles signale avoir souffert des violences sexuelles et 25.7% fait part de Ia violence émotionnelle. Cette analyse a démontré que les femmes qui ne participent pas a Ia prise de déci-sion au niveau des ménages étaient plus susceptibles que celles qui y participent de d'étre touchées par Ia violence a caractére sexiste. Les femmes qui disposent a leur gré du revenu de leurs conjoints étaient moins susceptibles de souffrir de la violence a caractére sexiste. Toutefois, la propriété des biens (terres et/ou maison) n'est pas associée a Ia violence conjugale a caractére sexiste. Les femmes en unions polyg-ames, dont les conjoints consomment de I'alcool, gagnent moins que leurs conjoints et qui ont un lourd passé en matiére de Ia violence physique non-conjugale étaient les plus susceptibles que toutes les autres femmes de subir Ia violence a caractére sexiste. Les femmes plus jeunes (agées de 15 a 19 ans) étaient plus susceptibles que les groupes plus Ggés de connaitre la violence conjugale sous forme émotionnelle, physique et sexuelle. Les recommandations de cette étude sont destinées a amélioration de la participa-tion des femmes a Ia prise de décision, a I'intégration de la violence dcaractére sexiste dans le dé-veloppement, et a amélioration de l'émancipation économique et sociale des femmes et des filles.
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