Analysis of Family Building Patterns in Kenya when Fertility has Stalled
Reproductive Health
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Issue: 2
(11 - 2008)
The absence of any further fertility decline in Kenya in recent past has alarmed the
demographic community. While such phenomenon is not new, it is also possible that the
observed fertility as measured by TFR may be due to flaws in the in distortion of TFR
from changes in the timing of childbearing. On the other handWhile, there may have been
a real reversal in fertility decline that could arise from change in fertility preferences.
However, tracing fertility trends by traditional measures (such as TFR) in early stages of
demographic transition is speculative and uncertain even if data is of good quality. This
study uses birth history data from the 1998 and 2003 KDHS to examine trends in family
building patterns. The main conclusion is that fertility rates increased among women in
their middle age (25-34) for those in parities 4 and 5 but declined for both younger and
older women. From a methodological perspectives, the use of parity progression ratios
uncovers patterns that may be difficult with the use of age- specific fertility rates. Parity
Parity-specific analysis is consistent with the sequential nature of childbearing and
approximates the family-building behaviour of real cohorts.
Résumé
L'arrét du déclin de la fécondité ces derniéres années au Kenya alarme la communauté des
démographes. Bien que ce phénomeéne ne soit pas nouveau, il est aussi possible que les
tendances de fécondité telle que mesurée par l'indice conjoncturel de fécondité (ICF) soit
affectées par des distorsions dans le calendrier des grossesses. Bien qu'il soit possible que
le renversement de tendance soit di a un changement réel des préférences en matiére de
fécondité, repérer les tendances de la fécondité par des indices classiques (tel que Il'ICF)
dans les premiers stades de la transition démographique est un exercice spéculatif et
incertain, méme si les données sont de bonne qualité. La présente étude utilise les
histoires génésiques recueillies par les EDS du Kenya en 1998 et 2003 pour examiner les
tendances de formation de la famille. La principale conclusion est que les taux de
fécondité ont augmenté parmi les femmes d'age moyen (25-34 ans) qui avaient déja 4 ou5
enfants mais a diminué pour les femmes plus jeunes et plus Ggées. D'un point de vue
méthodologique, l'utilisation des probabilités d'agrandissement de la famille dévoile
des comportements qu'il est difficile d'identifier avec les taux de fécondité par age.
L'analyse des probabilités d'agrandissement est cohérente avec la nature séquentielle
des grossesses et approche au mieux le processus de formation des familles dans chaque
génération.
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